Bento fumé, gâteau au sarrasin

Miam fort en goût ce midi !

À gauche, salade verte, tomates cerises, gâteau sarrasin/poire ; à droite, riz avec sauce piquante de chez « le chinois du coin » :3 et roulés de bacon et Abondance – cachés sous une tranche dudit fromage.

Le gâteau est le même que « d’habitude », hein, un quatre-quart avec moitié moins de sucre et moitié moins de beurre mais avec deux yaourts – je n’ai toujours pas trouvé si c’est une recette existante. La farine est moitié froment, moitié sarrasin. Cela faisait longtemps que je n’avais plus cuisiné avec cette (fausse) céréale, j’avais oublié à quel point c’est bon !

Bento de feignasse

Oui, parfois on ne cuisine pas, chez moi, notamment parce qu’on a un petit resto rapide / traiteur asiatique très sympa, savoureux, et dont la tenancière est toute gentille (mais distraite : je lui demandais pourquoi elle ne vendait plus de petits pois au wasabi, seulement des cacahuètes au wasabi, et elle est tombée des nues, ne sachant pas de quels petits pois je parlais, « mais si jvous assure madame, je vous en ai même acheté deux fois » « vous êtes sûre ? »). Et donc hier soir, c’était petits raviolis aux crevettes, brochettes de poulet au caramel (une tchuerie), riz (maison, sisisi), et porc au caramel (aussi). Et après les boules coco pour moi et les beignets de pomme pour l’Amoureux, ben yavait plus faim. Ça tombe bien, c’est dans ma boîte aujourd’hui, comme ça.

Du poulet basilic/piment, adouci par deux tranches d'ananas, avec un gâteau au soja en équilibre, et du riz tout simple.

Butin de retour de foire

Oué, le miam c’est une bataille, souvent. Bon, d’accord, je n’ai pas combattu bravement, techniquement, c’est-à-dire que j’ai un peu soudoyé les marchands avec des sous au lieu de les piller. Personne n’est parfait.

Donc là, c’était la Foire de Savoie, grand’messe des entreprises savoyardes, où celles-ci présentent leur production : miel, confitures, motoculteurs, jacuzzi, foie gras, ciseaux-à-7-lames-pour-les-herbes, site web, tupperwares©, huile d’olive et vins en tous genres…

L’association artichauts et amandes est très surprenante et c’est une vraie réussite : on goûte vraiment l’artichaut, sa douceur, son sucré et son amertume, sa texture  – et ses fils -, et dans le même temps on sent l’amande, son goût huileux, crémeux, son toucher un peu grumeleux, et son sucré particulier. Je sens que du pain va venir plus souvent à ma table ces temps-ci.

La crème de pistaches est une tchuerie. Même l’Amoureux qui « d’habitude, n’aime pas la pistache » a insisté pour qu’on prenne le gros pot.

La confiture kiwi/citron vert, c’est de mon côté qu’était le « moué, bon, le kiwi cuit s’pas mon truc », et ben c’est très bon !

Les petites perles de vigne sont étonnantes : ce genre de petites choses est le plus souvent croquantes, et celles-ci sont moelleuses, car les raisins secs sont réhydratés et la couche de chocolat est fine.

Le pesto de tomates et thon est bien bon, mais je l’ai peu goûté – je dois avouer que la crème d’artichauts avait ma préférence et que j’ai préféré me resservir de cette dernière.

Pas goûté du tout, le gâteau de noix, mais rien qu’à la vue et au toucher, il sera bon. J’ai dit. Hugh.

(pis j’ai goûté un vin blanc extra, même pour moi qui n’aime pas le goût de l’alcool, mais il ne se vendait que par cartons de 12 bouteilles et c’était pas combo avec notre budget, tristesse et déréliction)

J’avais dit plus de rattrapage de bentos

Mais en fait je suis une immonde procrastinatrice (vachte d’occupée par son boulot, aussi, hein), donc je mange, je bentote, je photographie. Et je ne poste pas. Bouh. Pas bien.

Couscous, carottes et meule de Savoie ; cake à la banane, poivron vert cru et une petite boîte de Savora.
Bento de riz (presque le même que dans l’article précédent), avec poivron, carottes et piment, et saucisson au fromage de chèvre ; ananas, petites billes de chocolat, nougat :3, raisin et un cake à la banane.
Roulés jambon/vachekiri/emmental, concombre, petits pois au wasabi, petits beurre et chocolat ; brocolis et riz aux légumes.

Le bon riz et le mauvais riz

Un bento simple, du riz thai cuit avec un demi-oignon et une demi-carotte, et un peu de sauce soja sur la fin. En dessert une banane en rondelles, quelques carreaux de chocolat noir, et un yaourt, et c’est tout =)

Ça, c’était le bon riz. Le mauvais riz, c’est le même après avoir passé un jour et une nuit hors du réfrigérateur. Il fait tellement chaud… Beuh.

Surtout du poivron, mais aussi des haricots et de la viande

Ce n’est probablement pas un ‘vrai’ chili con carne, mais c’était bon, et mince, c’est ce qui compte.

Ingrédients

pour deux personnes

  • deux steaks hachés
  • une demi-boîte de haricots rouges
  • une petite boîte de maïs
  • un poivron vert
  • un demi-piment rouge – ne me demandez pas la variété, c’est « celui qui ressemble à un poivron qu’on aurait fait pousser dans un tube »
  • deux feuilles de laurier
  • un demi-oignon
  • une demi-boîte de tomates pelées au jus
  • en accompagnement : des tortillas de blé

Modus operandi

Faire chauffer de l’huile d’olive (une cuillerée à soupe environ) dans un fait-tout. Y faire revenir le piment coupé en petits cubes, et l’oignon itou. Ajouter le poivron, en cubes aussi, on change pas une technique qui marche. On évite de se couper les doigts, soit-dit en passant.

Pendant ce temps, on aura pris soin de faire émietter la viande par quelqu’un de confiance. L’ajouter dans la casserole et remuer jusqu’à ce qu’elle ne soit plus rose. Adjoindre les tomates, éventuellement un peu de jus, et les écraser, bien mélanger. Planter les feuilles de laurier avec vigueur et détermination.

Enfin, mettre les haricots, remuer, mettre à feu plus doux et couvrir. Quand la viande est tout à fait cuite et que les saveurs se sont bien dit bonjour – penser à goûter, et surtout penser à refroidir la cuillerée ! – verser le maïs, et servir.

Ici, avec des tortillas de blé. À la base, l’idée c’est de mettre le chili dans les galettes, façon burrito mais c’était trop liquide. Alors on les a mangées ‘avec’, comme du pain.

The house of the lost pain

Laisser rassir du pain, parfois, on le ferait volontairement, parce que le pain perdu, c’est quand même une tuerie, hein. Je l’aime neutre, histoire de pouvoir le manger salé ou sucré – voire faire un repas uniquement de pain perdu !

Beh c’est ce que j’ai fait, il y a maintenant quelques semaines. Oui, je ne publie pas le jour où je cuisine. C’est mal. Je sais. Où est le fouet, je vous prie ? *ciak* *retient un cri de douleur extatique* Bon, voilà. Alors, heureux ?

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Ingrédients

  • du pain – rassis de préférence
  • 3 oeufs
  • du lait
  • du sel

Modus operandi

Mêler œufs et lait dans un bol, il faut que le mélange soit bien liquide. Trancher le pain. Faire chauffer un peu d’huile dans une poêle. Tremper quelques secondes des tranches de pain dans l’appareil et les poser délicatement dans la poêle (imbibées, elles sont fragiles). Retourner quand c’est doré. Remettre du pain dans le mélange, et recommencer l’opération autant de fois que vous le voudrez.

Le titre de l’article m’a été gracieusement suggéré par Enkimy, grâce lui soit rendue, avec des pétales de pluie acide qui lui tombent dessus et tout.

Bento aux éventails

Bon, c’est pas parce qu’il fait chaud ici (*sarcasme*) que j’ai mis des éventails…

En bas, restes de macaronis finis de cuire dans le jus de paupiettes de veau (achetées), couverts d'emmental sous forme d'éventails, papillons et pitites fleurs. En haut, un oeuf dur en nid de batavia, et des biscuits à la figue cachant des billes de chocolat aux épices.