Pangas en croûte de seigle, riz et sauce aux oignons

J’aime bien le poisson pané. Mais avec du vrai poisson, pas de la bouillie pour vieux chat grabataire noyée dans une panure plus huileuse que glutenée. Ici, on fait du filet de pangas pané dans des miettes au seigle. Namého.

Ingrédients

pour deux personnes

  • 2 jolis filets de pangas
  • 2 oeufs
  • des biscottes au seigle de type Wasa
  • sel
  • poivre
  • un oignon
  • de la crème fraîche
  • du vin blanc

Modus operandi

Mettre du riz à cuire. Vous savez faire, hein, et chacun a sa technique, je ne vais pas expliquer =P

Écraser les biscottes en une poudre grossière, en gardant des morceaux plus gros pour la texture (sur la photo, les morceaux sur la droite sont trop gros, hein).

Battre sauvagement les œufs, saler, poivrer.

Faire chauffer de l’huile d’olive, du saindoux, de l’huile de -gasp- palme, de la graisse d’éléphant ou de canard, comme vous voulez. Moi, c’était canard. Coin.

Passer le filet de poisson dans l’œuf, puis dans les miettes, et jeter la bestiole dans la poêle bien chaude (mais amicale), jusqu’à ce que la panure soit bien dorée, croustillante, et le poisson bien cuit.

Pendant ce temps, hacher menu menu un oignon, le dorer, et laisser cuire jusqu’à ce qu’il soit moelleux. Déglacer au bon vin blanc, ajouter un peu de crème.

Servir le poisson avec la sauce et le riz.

Regardez-moi cette croustillance dorée ! Regardez-moi ça !

Bento potato salata

Quel nom barbare. Quels sauvages, ces japonais. Ah, on me souffle à l’oreille que c’est de l’anglais. Presque. sifflote

La potato salata, ou salade de pommes de terre, mais vous l’aurez deviné bande de premiers de la classe, est au Japon faite de pommes de terre (c’est bien, vous suivez, mais faudrait pas non plus se mettre à fayoter) et de carottes. Ah, on la ramène moins, hein. Et de mayonnaise.

‘Fin bon, je ne voulais pas forcément faire du japonais à la base, mais il se trouve que tantôt nous cuisinâmes des patates et des carottes, pour accompagner une entrecôte que même, ben, elle roxxait du pangolin fourbu. D’ailleurs, à ce propos, j’ai une anecdote idiote croustillante.

Et donc, avec le restant, j’ai tout simplement fait une salade en coupant grossièrement les légumes racines et tubercules susnommés, et je les ai mêlés à de la mayonnaise citronnée et pimentée.

Et avec ça, du fromage – je crois que c’était de la tomme de brebis, des dattes, de la compote de pommes, et une meringue au miel.

Confit de canard et compotée d’oignons et abricots

Souvent, chez nous, on mange le confit de canard avec de la semoule et des poires. J’avais envie de changer un peu. Pis on n’avait plus de poires. Mais il restait des abricots en conserve. Le plat en lui-même est très simple, du riz, du confit de canard que c’est même pas moi qui l’ai fait, bouuuuuh, mais oh, je n’ai pas de canard à la maison, pas la place, et de toute façon les chèvres et les chats seront prioritaires le jour où j’aurai un chez-moi plus grand, et une compotée d’oignons et d’abricots.

Ingrédients

pour deux personnes

  • un demi-oignon
  • une demi-douzaine d’oreillons d’abricots en conserve

Modus opérandi

Hacher finement l’oignon, couper les abricots en petits cubes. Faire revenir l’oignon dans un peu d’huile d’olive,. Quand il est doré et moelleux, ajouter les dés d’abricots, du gros sel et un peu de sirop des abricots. Laisser cuire en remuant, jusqu’à ce que le goût vous convienne : pour ma part, j’ai laissé jusqu’à ce que l’acidité un peu dure, un peu sèche de l’abricot ait disparu.