Bentō de récup’ : en bas, pâtes radiatori, quelques pommes de terre dessous et un peu de poireaux (cuits avec une saucisse de Morteau, déjà mangée) et de sauce piquante de la chouette-dame-traiteur-chinois. En haut, une batavia avec abricots et raisins secs, et petite sauce huile d’olive et citron.
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Bentō roulé au guacamole et écrasé patates poireaux

En bas : écrasé de pommes de terre et poireaux avec jus de cuisson (vestige d’une sorte de potée à la saucisse de Morteau).
Bentō pâtes au pesto d’asperge, salade diverse
Bon, mes bentō se ressemblent beaucoup ces temps-ci : pâtes en haut, salade en bas. C’est bien, remarquez, parce que c’est typiquement le genre de plat qui a mille variations !
En bas, batavia avec petits pois et haricots rouges, avec sauce huile d’olive, citron et wasabi.
Bentō de reprise, parce que zut hein, faut cuisiner un peu, oh
En haut : salade verte, poires au sirop, copeaux de fruité des Bauges, avec une sauce très simple, jus de citron et huile d’olive (une merveille, offerte par les parents de l’Amoureux, mais je ne me souviens plus du nom…). En bas, courge et pommes de terre rôties aux épices. Tout en bas : des petits-beurre.
Ingrédients pour 2 personnes + 1 bentō + un peu de restes
- une demi courge : je ne connais pas son nom, elle était ronde, vert foncé au dehors et orange dedans
- une huitaine de pommes de terre
- de l’huile d’olive
- des épices : j’ai mis un mélange de poivre et de noix de coco
Modus operandi
Laver tous les légumes. Couper la courge en tranches, puis en morceaux. Couper les pommes de terre en frites larges. Disposer sur une plaque couverte de papier cuisson soit les courges soit les patates, arroser d’huile d’olive et d’épices – j’ai fait en trois fois, mon four n’est pas grand. Cuire au four à 200°C 40 minutes pour les patates, 20 minutes pour la courge.
Bentō pâtes, boulettes et cookies
Boîte rapide avec des trucs déjà faits, du bon, du moelleux, du goûtu, du chaud : nouilles trop cuites parce qu’oubliées par l’Amoureux :3 , boulettes de veau à tomber par terre (ok, diminuer ma consommation de viande va être difficile si on me propose ce genre de *nom*), le tout sur un lit de fromage, deux demi-poires au sirop, et deux cookies noix de macadamia et chocolat au lait. (ma mère est revenue d’Inde avec des recettes et des épices, je vais tenter de faire les plats qu’elle nous a fait goûter ce week-end, une tchuerie)
Bentō riz aux épices, jambon et salade
Hop hop hop on se reprend, et un bentō, un ! Très simple : du riz aux épices (curcuma, poivre, cannelle, laurier), sur un lit de jambon blanc et de fruité des Bauges (j’adore mettre le fromage à fondre sous le riz), et une salade verte avec raisins secs et petite sauce au wasabi (pas extra, d’ailleurs, un goût poudreux, dû à la vieillesse et la qualité relative dudit wasabi).
Bentô au riz multiple
Comme souvent chez moi, les plats sont des chats – aux multiples vies, donc. Il y eut du chou-fleur un jour, du canard confit un autre, et du riz un troisième, qui recueillit les restes des deux autres. Et le surlendemain, un ajout de haricots rouges et de petits pois vint compléter le mélange.
Bentô riz caramel
La veille au soir, c’était saumon mi-cuit, mariné une heure dans le sirop d’érable (pas d’article, car aucune photo valable). Pendant que le saumon mi-cuisait, donc, j’ai fait réduire la marinade, et l’ai additionnée de citron et de crème sur la fin – au pif, comme souvent. Il en restait après, ainsi que du riz : la base du bentô était toute trouvée.
Bentô de quand il fait froid
Je sais pas chez vous, mais ici ça commence à cailler sévère (cet article a une semaine, aujourd’hui il a neigé #jdçjdr). Dans ma boîte : un reste de tortellini chapelure jambon cru et parmesan sur un lit de carottes vapeur avec crème et jus de citron ; un morceau de chou-rave *o*, une tranche de Saint-Genix et un peu de purée de marron.
Les tortellini, parlons-en, tiens. Alors que d’habitude l’Amoureux et moi-même sommes attentifs aux ingrédients, ici nous n’avions pas regardé, hypnotisés par le packaging chatoyant et la mention « jambon cru » (insérer ici une image de zombie). Plus tard, l’odeur émanant du paquet nous a fait dire « ah oué, ça sent bien le jambon, quand même », et le goût était quand même pas mal. Mais quand on regarde les ingrédients… Dans la farce, le premier est « chapelure ». Humf. Enfin, ils sont honnêtes, les proportions de jambon cru et de parmesan sont notées en clair : respectivement 2,5% et 0,9%. Paie tes pâtes « saveur jambon ». Pour de la truffe, j’aurais rien dit, mais là… Donc voilà, les tortellini Panzani, ben, beuh, un peu. Là. Je dénonce. Trop ouf. (mais sinon, avec crème, citron, et carotte, ça rend bien)

Bentô semoule et soupe de paupiettes
J’ai déjà parlé des multiples vies des paupiettes. Mais qu’advient-il du vin dans lequel ont cuit les paupiettes, quand la viande a été mangée ? Nous avions fait deux de ces merveilles avec du vin blanc, de la verveine (initiative de l’Amoureux) et des raisins secs, et le liquide restant, parfumé de jus de viande, on n’allait tout de même pas le jeter ! Donc nous y avions mis des carottes en lamelles, des pommes de terre en tranches et des fanes de navets nouveaux (oui, le panier surprise de la Ruche cette semaine contenait des navets nouveaux, au goût piquant et pourtant si fin, je les ai mangés crus tellement ils sont bons).
Mais dans mon bentô, je ne pouvais pas mettre de liquide, il n’est pas hermétique. Donc j’ai déposé une couche de graine de couscous, et ai versé dessus la soupe froide, et ai laissé gonfler toute la nuit. Au lendemain, le bouillon gras et parfumé avait imprégné la semoule, c’était excellent. J’ai rajouté en plus un peu de beurre d’escargot sur les légumes (oh, c’est l’hiver, hein, ‘fait froid, faut manger un peu gras).
Avec ça, un demi-navet nouveau, deux feuilles de chou blanc renfermant de l’emmental pour l’une et du fromage de chèvre pour l’autre, deux madeleines, une clémentine, du chocolat noir aux framboises et un raton-laveur. Qui s’est barré avant que je prenne la photo, le sagouin.